annexe 10B

Les manuscrits des Généalogistes du Roi
ou Des exemples de quelques pièces

Cette annexe est la plus importante de toutes

Pour le lecteur, d’abord, comprendre la malveillance

Pour nuire au colonel du Puy-Montbrun par des informations médisantes certaines personnes (une seule peut-être ?) cherche/ent à montrer que le manuscrit du généalogiste du Roi est un faux, ce qui rendrait sans rapport entre elles, les deux branches de la famille du Puy en Albigeois qui sont présentées.

La conséquence recherchée est que le Montbrun qu’il a été demandé devant notaire à l’une des branches de porter – tant qu’elle avait des descendants ce qui n’a vite pas été le cas – ne peut être porté par l’autre branche alors que la première s’est éteinte si cette autre branche n’est pas une branche mais une famille distincte.

On ne peut pas nier, on l’a montré, qu’il a été demandé à la famille du Puy-Melgueil de porter Montbrun dans son nom. D’où deux actions de médisances qui consistent par un coup double à :

◊ dire que le manuscrit de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin est un faux ainsi que tout ce qui s’y rattache ;
◊ dire que la branche du Puy-Melgueil donnée par ce manuscrit est une famille sans noblesse issue d’un notaire de Castres, ce qui renforce le caractère faux du manuscrit. 

Généawiki

Cerise sur le gâteau on ajoute (Généawiki) que la famille du Puy-Melgueil ne s’est jamais appelée ainsi (un nom pourtant acquis par Ordonnance1) pour la dire2 Dupuy de La Riverolle. 

Or cette famille que Généawiki dit sans noblesse et appelle Dupuy de La Riverolle a été reçue aux Honneurs de la Cour, ce qui est attesté par la Gazette.

La malveillance s’amplifie alors pour nier que la Gazette puisse être une référence3. Une famille descendant d’un notaire de Castres, en effet, ne peut pas avoir été admise aux Honneurs de la Cour.
On sait que l’admission du requérant, une fois qu’elle est acquise, se caractérise par la montée dans les carrosses. Dit autrement, cette montée dans les carrosses est la preuve de l’admission.
Aussi ce qui suit vaut d’être relaté.

Wikipédia

La gazette donne pour le même jour4 la montée dans les carrosses d’un chevalier Rivoire de Latourette et celle du vicomte de Melgueil.
Que croyez-vous que dise l’imposteur caché derrière son pseudonyme ? Il nous informe que le vicomte était le valet de pied du chevalier ce qui explique qu’il l’ait accompagné ! 
Peut-on rappeler qu’il s’agit du pseudonyme Heurtelions en date du 26 décembre 2018 à 18:34 (CET) ? Celui dont nous avons montré l’incompétence [Voir Annexe 4G].

Cela dit, revenons à l’essentiel : les manuscrits de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin. Là Wikipédia n’a pas besoin d’induire en erreur. La référence à des sources manuscrites y est interdite. Quelle belle opportunité que de ne pas avoir à citer les sources du Cabinet des Titres conservées à la Bibliothèque Nationale.

Pour autant, dans le cas de Wikipédia, le comportement des personnages malveillants demeure très intéressant.
Nombre de preuves en effet sont imprimées et non plus manuscrites, et donc devraient être citées si l’on est honnête. Elles font valoir la généalogie manuscrite comme une référence sûre :

◊ soit que les travaux des généalogistes les conduisent à la même conclusion ; ils la reproduisent fidèlement, ce qui est le cas de Nicolas de Saint Allais, de Jules Villain, de Patrice de Clinchamps qui se réfèrent à Saint-Allais et donc au généalogiste du Roi, Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin ;

◊ soit que ces généalogistes valident les admissions aux Honneurs en disant toute l’estime qu’ils ont pour le généalogiste du Roi Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin qu’ils appellent Chérin ou le second Chérin. Ils parlant de ce sévère, de ce savant, du grand travail généalogique de feu Monsieur Chérin pour le marquis de Magny ; du savant et consciencieux Chérin pour Borel d’Hauterive ; du rigide Chérin pour Adolphe de Coston ; du rigorisme presque fanatique du second Chérin pour Benoît de Fauconpret ; d’un jeune coq qui a fait détester sa rigueur pour François Bluche [Voir Annexe 10C].

◊ soit enfin qu’ils s’appuient très explicitement sur la généalogie manuscrite pour établir leur notice, ce qui est le cas de E de Seréville et F de Saint Simon.

On vient ainsi de citer neuf sources qui n’ont pas pris le généalogiste du Roi pour un incompétent.

La méthode des pseudonymes qui interviennent dans Wikipédia est simple. Ne citer ou ne donner de l’importance à aucune source qui validerait la généalogie manuscrite.
Comme le lecteur ne sait pas de quoi il retourne, il peut être trompé très aisément.
Ce faisant les pseudonymes violent les règles de Wikipédia sur la citation des sources5.

L’essentiel maintenant. l’écriture des généalogistes des Ordres du Roi

Les cinq juges d’armes successifs, généalogistes des Ordres du Roi qu’ont été Clairambault, Beaujon, Bernard Chérin, Berthier et Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin dit aussi Nicolas Chérin ont tous produit des mémoires manuscrits destinés au Roi.

Ces mémoires, pour ceux qui concernent Bernard Chérin et son fils Louis-Nicolas-Hyacinthe, sont aujourd’hui classés dans ce qui est appelé « le fonds Chérin » par les archivistes de la Bibliothèque Nationale qui ont procédé au classement.

C’est d’abord faire insulte à ces archivistes que de dire comme on l’a lu de la part d’intervenants cachés derrière leurs pseudonymes dans Wikipédia ou Généawiki qu’il s’agit là d’un ramassis de papiers sans valeur.

D’autant qu’aujourd’hui (depuis 2000) François Bluche les a tous étudiés pour son ouvrage6 sur les Honneurs de la Cour en consultant les dossiers de « 942 familles admises aux honneurs de la Cour entre 1715 et 1790 (dont) 462 seulement ont été – ou eussent été- capables de présenter une filiation prouvée… » (op.cit. page 19).

Il précise (op.cit. page 30) que « ceux qui savent le caractère imprécis de pareils documents – où les personnes apparaissent avec les titres les plus fantaisistes, les orthographes les plus variées et généralement sous leur seul nom de terre – devineront que la partie la plus délicate du travail fut la restitution des patronymes ».

Dire qu’il s’agit de papiers sans valeur, c’est après les travaux de François Bluche, montrer une regrettable incompétence.

L’écriture des généalogistes du Roi est évidemment parfaitement connue de tous les généalogistes qui ont cherché à établir les notices des familles reçues aux Honneurs de Cour en tenant compte des documents originaux dont ils savent pouvoir disposer à la Bibliothèque Nationale. 

Ainsi et par exemple les membres de la commission des preuves de l’Association de la Noblesse Française (ANF) n’ont aucune hésitation à reconnaître leurs écritures. Les lecteurs qui auraient des documents relatifs aux Honneurs de la Cour et sur l’écriture desquels ils s’interrogeraient ont là une voie à ne pas hésiter à utiliser (nous nous permettons de le dire, nous avons rencontré des personnes très aimables) pour rechercher auprès de l’ANF l’information la plus sûre.

Mais il y a mieux, si l’on ose dire et avec tout notre respect pour l’ANF. La connaissance de l’écriture des généalogistes des Ordres est facilitée par l’accès facile aux documents manuscrits écrits par eux-mêmes à l’attention du Roi.

Nous donnons ainsi deux exemples où Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin soutient devant le Roi le dossier d’une famille à laquelle il manque des preuves.

Le soutien manuscrit de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin à la famille d’Harambure

François Bluche informe toujours dans l’ouvrage que nous citons7 d’une pièce d’appui écrite par Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin à l’attention du Roi. Cet auteur veut nous montrer que ce généalogiste n’hésite pas à s’engager lui- même dans les cas qui s’imposent.

Il s’agit d’une famille d’Harambure dont Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin est certain de l’ancienneté mais qui n’a pu fournir toutes les preuves.

On lit le propos de Françis Bluche :
« … l’année suivante [1789 NDLR] il [Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin] recommande au Roi la maison d’Harambure, connue depuis 1227 mais dont la preuve ne va qu’à 1480 ».
Ce que l’auteur fait suivre du texte de la pièce d’archive écrite de la main de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin disponible dans le fonds Chérin 103. On lit donc dans la page 21 écrite par lui la recommandation :
« Le généalogiste des Ordres croit ne point sortir des bornes de son devoir s’il se permet de représenter qu’il est peu de circonstances plus favorables où il soit de la bonté du Roi de s’écarter de la rigueur des règles, en considération de l’ancienneté d’une race recommandable par le caractère de son origine et le mérite de ses services, mais qui, d’ailleurs, se trouve privée de quelques titres nécessaires à la liaison des premiers degrés de sa généalogie ».

Chacun peut consulter cette pièce d’archive à la Bibliothèque Nationale, Paris, rue Richelieu, fonds Chérin 103, Dossier 2125 de la famille d’Harambure8. Dans les pages qui citent cette note du généalogiste du Roi accessibles aussi par internet9. La recommandation commence par :

Le Généalogiste des ordres croit ne point sortir des bornes…
Cette note donne sa date de présentation10 au Roi en janvier 1789. 

Il n’y a pas besoin de rappeler que le généalogiste du Roi en janvier 1789 est Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin. On verra plus loin qu’il semble que le pseudonyme Pierr01 (Généawiki) ne le sache pas.

Si l’on reconstitue les termes repris par François Bluche de l’engagement de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin devant le Roi, il vient :

Le soutien manuscrit de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin à la famille du colonel du Puy-Montbrun

Si l’on s’en tient à ce qu’écrit François Bluche, les engagements du généalogiste du Roi sont rares. Compte tenu de la malveillance dont nous avons parlé c’est donc une chance d’en posséder un pour la famille du colonel du Puy-Montbrun. Voilà qui infirme définitivement les propos mensongers sur la nature des manuscrits. 

La note à l’attention du Roi

C’est un note11 écrite par Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin pour faire accepter au Roi que le refus par l’Intendant Bazin de Bezons de considérer la branche protestante de la famille du colonel du Puy-Montbrun (appelée du Puy à l’époque) doit être sans conséquence sur son admission aux Honneurs de la Cour.

Le généalogiste des ordres du Roi croit pouvoir assurer que parmi les affaires contentieuses de noblesse qu’il est chargé d’instruire pour le Conseil du Roy il n’a point eu occasion de rendre compte d’une preuve aussi distinguée. 
Nom connu depuis 1101, filiation établie sans interruption depuis l’année 1190, origine chevaleresque alliances de marque, tels sont les principaux avantages que réunit la maison des suppliants. D’après cet exposé on ne conservera donc aucun préjugé défavorable de condamnation prononcée par M Bazin de Bezons contre les auteurs du Vicomte du Puy surtout si l’on considère que les troubles du protestantisme dont ils faisaient profession les avaient privés d’un partie de leurs titres au moment de la Recherche des faux nobles et que les actes qui leurs étaient nécessaires se trouveraient au même temps entre les mains de la branche aînée qui obtint du même intendant un jugement de maintenance ainsi nous estimons qu’il est de la bonté de sa majesté d’accorder aux suppliants les conclusions de leur requête.

Fait au cabinet des ordres du Roy, le 19 – 9bre 1788.
Signé : Chérin.

Nous surlignons ce qui est essentiel. Il est clair que la volonté du généalogiste du Roi est d’en rester strictement au règlement et de ne pas tenir compte des recherches de noblesse.
Il va probablement de soi qu’il lui faut quand même convaincre devant un épisode malheureux, une condamnation dont on ne peux nier l’importance.

Cette note figure ci-dessous.

On peut souhaiter comparer les premiers termes des engagements de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin. 

Il faut être de très mauvaise volonté pour ne pas admettre que la note ci-dessus est de la main de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin, note datée du 9 septembre 1788 où chacun sait que c’était alors lui le généalogiste du Roi.

Les faux de Généawiki.

Se rendre dans l’article introduit12 par le pseudonyme Pierr01 conduit à lire notamment à propos de la note dont on vient de parler : « Une note non signée, non datée, pas de cachet » ce que l’on reproduit ci-dessous.

Pas de doute sur la note. Le lecteur voit que cette note dite par Généawiki non datée est bien datée du 9 septembre 1788. Il suffit de la lire jusqu’au bout ce qui n’a sûrement pas du être fait faire pour avoir écrit qu’il n’y avait pas de date. Le lecteur observe aussi que cette note, dite non signée par Généawiki, porte la signature sous forme de paraphe de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin que l’on voit évidement dans d’autres dossiers et notamment celui de l’admission de la branche Rochefort13 des du Puy du Dauphiné qui ne pose pour cette famile aucun problème à ce pseudonyme Pierr01.  

Mentir à ce point est affligeant et nous n’allons pas plus loin ici. C’est fait par ailleurs.

Incidemment on n’est pas étonné que Nicolas Chérin paraphe et ne signe pas de son nom entier.
Traitant un grand nombre de dossiers et validant nombre de pages écrites pas ses commis, on observe qu’il n’utilise quasiment que son paraphe. 

Les autres documents manuscrits de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin concernant la famille du colonel du Puy-Montbrun et l'Intervention d'un expert

A / Le manuscrit de la présentation au Roi

Ce manuscrit14 est le fondement de la généalogie de la famille du colonel du Puy-Montbrun. Il a été examiné, présenté ou repris par un grand nombre d’auteurs (Saint Allais, Villain, Marsay, Saint Simon et Seréville, Clinchamps…)
Il n’est ni daté ni signé.

Nous pouvons faire savoir au lecteur qu’il a été reconnu par les spécialistes de l’ANF comme de la main de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin (à l’exclusion bien sûr de la surcharge évidente en haut de la première page).

Toutefois devant la malveillance, laquelle s’approche de la calomnie qui s’exprime tant dans Wikipédia que dans Généawiki et d’autres sites nous avons pensé que l’on ne pouvait en rester là pour convaincre.

Aussi avons-nous présenté :
◊ la note ci-dessus signée et datée par Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin,
◊ le manuscrit non signé et non daté de la présentation au Roi donnant la filiation de la famille du colonel du Puy-Montbrun que l’on présente maintenant,
◊ et une autre note présentée ci-dessous
à un expert en écritures et documents près la Cour d’Appel de Paris.

Par un document de référence 1081/CETD/19 en date du 8 avril 2019 qui serait déposé dans les mains d’un avocat s’il le fallait, l’expert conclut que les deux derniers documents sont de la même main que le premier.

B / Une autre note

On présente cette note15 qui a pour intérêt de lire de la main de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin son appréciation sur la présentation de la famille du colonel du Puy-Montbrun. Assurément modeste au regard des grands nobles de la Cour elle n’en a pas moins présenté toutes les preuves de sa haute naissance selon les termes du généalogiste du Roi.

Son texte :
Il existe dans le royaume un plus grand nombre de races anciennes qu’on ne pense, qui ont échappé aux Ravages des Guerres civiles et du temps, qui dévorent tout. Si l’obscurité dans laquelle ces familles ont vécu durant quelques siècles semble les avoir fait déchoir de leur ancien lustre, elles n’en ont pas moins droit aux honneurs réservés à la haute naissance lorsqu’elles représentent les titres authentiques de leurs origines… 

La note :

Incidemment voilà qui rend ridicule la prétention du pseudonyme Heurtelions à faire croire au lecteur que cette famille aurait présenté sa propre généalogie [Voir Annexe 4G]

conclusion

Monsieur Francois Bluche a montré que sur 942 familles reçues aux honneurs de la Cour, 462 ont été admises sur des preuves régulières, sans aucune dispense. On dispose ainsi pour elles à la Bibliothèque Nationale de filiations qui très probablement sont, avec celles d’autres grands généalogistes tels les d’Hozier, parmi les plus sûres. 

La famille du colonel du Puy-Montbrun bénéficie d’un avantage singulier. Les pièces sont nombreuses et les notes pour le Roi certifiant l’ancienneté féodale de sa famille écrites de la main même de son généalogistes sont particulièrement précieuses.

Le document que nous pensons être le plus intéressant pour le lecteur est celui qui présente16 toutes les preuves qui ont été fournies. Un document de 52 pages. On peut donc juger de la nature de ces preuves et observer qu’elles sont beaucoup plus nombreuses qu’il ne le fallait (trois preuves par degrés jusqu’à l’an 1500 puis deux seulement au-dessus).

Dire comme on le voit – dans Wikipédia et de façon particulièrement explicite dans Généawiki – qu’il s’agit là de documents sans valeur dont on ignore l’auteur trompe le lecteur par incompétence au mieux, on le redit, et beaucoup plus probablement par malveillance.

C’est là, de la part de pseudonyme malhonnêtes, jeter l’opprobre dans des sites internet dont la qualité en est ainsi très gravement affectée.

C’est bien évidemment là aussi nuire à la mémoire de la famille du colonel du Puy-Montbrun.
D’où l’importance de cette annexe qui présente au lecteur les preuves d’une vérité rétablie. 

notes

  1. 1 | Voir l’ordonnance : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65288948/f436.image.
  2. 2 | Voir : https://fr.geneawiki.com/index.php/Famille_Dupuy_de_La_Riverolle.
  3. 3 | On rappelle que François Bluche dans son ouvrage paru en 2000 : Les Honneurs de la Cour, L’intermédiaire des chercheurs et des curieux (ICC), Éditions Patrice du Puy, Paris, 2000 certifie le caractère officiel de la Gazette (page 30).
  4. 4 | Voir juste au dessus de la ligne « De Paris le 10 mars 1789 » :
    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6386537r/f4.item.zoom.
  5. 5 | Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Wikipédia:Citez_vos_sources. Si les règles proposées par Wikipédia étaient suivies il n’y aurait pas de fake news sur la famille du Puy-Montbrun.
  6. 6 | François Bluche, Les Honneurs de la Cour, L’intermédiaire des chercheurs et des curieux (ICC), Éditions Patrice du Puy, Paris, 2000, page 21.
  7. 7 | On rappelle que François Bluche dans son ouvrage paru en 2000 : Les Honneurs de la Cour, L’intermédiaire des chercheurs et des curieux (ICC), Éditions Patrice du Puy, Paris, 2000 certifie le caractère officiel de la Gazette (page 30).
  8. 8 | Dossier appelé : 2125 Harambures : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100807519/f173.image.r=Chérin%20103.
  9. 9 | Voir : L’engagement du généalogiste cité par Bluche débute page de droite en bas : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100807519/f193.image.r=Ch%C3%A9rin%20103.
    Et se poursuit page de gauche :
    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100807519/f194.image.r=Ch%C3%A9rin%20103.
  10. 10 | Voir écrite la date de 1789 dite par Bluche où cet engagement doit être présenté au Roi : février 1789 à lire en début de note :
    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100807519/f192.image.r=Chérin%20103.
  11. 11 | Voir Engagement du généalogiste page 1 (à droite) :
    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100810923/f113.image.r=Chérin%20165.
    Engagement du généalogiste page 2 (à gauche) : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100810923/f114.image.r=Chérin%20165.
  12. 12 | Voir dans le paragraphe appelé « Histoire » ce qui est dit sur le dossier des Honneurs de la Cour :
    https://fr.geneawiki.com/index.php/Famille_du_Puy-Montbrun_(Albigeois).
  13. 13 | Voir page de gauche en bas : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100810923/f159.image.r=Chérin%20165.
  14. 14 | Voir le mémoire de Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin (première page à droite puis pages suivantes) : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100810923/f96.image.r=Chérin%20165.
  15. 15 | Voir à droite :
    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100810923/f119.image.r=Chérin%20165.
  16. 16 | Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100810923/f69.image.r=Ch%C3%A9rin%20165.