Wikipédia et la malveillance du pseudonyme Iyy
Les sources et leur vérification rarissime
par André Navelle en 1991 des preuves fournies
à Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin en 1788
Si le lecteur a encore un peu de temps à consacrer au comportent regrettable
de certains pseudonymes de Wikipédia, on lui présente ce qui suit.
Tous ceux qui recherchent leurs racines dans la généalogie connaissent au moins une fois une émotion exceptionnelle.
Sourions un instant. Après avoir :
◊ lu dans Généawiki que Marc-Antoine-Guillaume du Puy avait assurément présenté de fausses preuves pour son admission aux Honneurs de la Cour ce qui a été repris par le pseudonyme Iyy dans Wikipédia ;
◊ observé que pour ce faire – plus d’une centaine de preuves originales remontant jusqu’au XIIIe siècle – il fallait que ce Marc-Antoine-Guillaume ait trouvé des faussaires de grand métier capables de tromper les commis avertis du généalogiste du Roi en leur présentant des documents faussement originaux allant jusqu’au XIIIe siècle ;
◊ qu’iceux, les faussaires de grand métier, devaient se faire payer très cher et demander beaucoup d’argent au regard des faibles moyens d’un petit noble de province dont le fils Antoine Louis servira dans le armées avec, lui, beaucoup d’or sur les épaulettes et sur les manches, mais rien dans le portefeuille ;
◊ et donc conclu que tout cela fleure le très bon le magot d’or caché dans des chaussettes depuis deux siècles quelque part dans un château inconnu à la recherche duquel nous allions nous atteler…
Nous trouvons récemment dans le Tome III d’André Navelle, publié en 1991 et donc dans des archives de plusieurs procès de personnages disponibles aux Archives de Toulouse une reconstitution de leurs filiations. En effet un requérant, comme nous l’avons montré, a dû fournir sa filiation pour obtenir gain de cause. Or ces noms et filiations présentés dans ces procès sont ceux qui figurent dans les preuves données au généalogiste du Roi pour l’admission aux Honneurs de le Cour en 1788.
Un vrai choc. Pas de magot. Dommage : les preuves ne sont pas fausses. Pas fausses du tout et là nous nous adresserons en fin de page au pseudonyme Iyy dont les propos fleurent bon la médisance.
Présentons d’abord deux pages de document synthétisant les preuves fournies au généalogiste du Roi par Marc Antoine Guillaume du Puy
POUR BIEN OBSERVER CE QUE SONT DES PREUVES
Ce sont celles du document présentant la synthèse des preuves1 (voir les notes ci-dessous pour y accéder ou se rendre à la Bibliothèque Nationale, rue Richelieu à Paris) où les deux branches se séparent avec un Paul aïeul du colonel du Puy-Montbrun et un Pierre qui – on le voit – n’est pas mort sans descendance comme le pseudonyme Pierre01 veut l’imposer au lecteur (voir ce qui concerne Généawiki).
Nous choisissons ces pages parce qu’elles sont essentielles pour montrer que la thèse longtemps développée dans Wikipédia et aujourd’hui dans Génénawiki – deux familles distinctes sans rapport aucun entre-elles – est fausse, pour ne pas dire intentionnellement fausse.
PAGE DE GAUCHE2
On lit pour commencer, en haut :
… noble Guy du Puy et Demoiselle Flore de Varagne sont nommés dans le contrat de mariage de noble Pierre du Puy, leur fils du 24 9bre 1556 (Gr) [Preuve que nous numérotons 1 de la page présentée aux commis du généalogiste du Roi].
Un commentaire pour le lecteur moins au fait que nous le sommes devenus (imparfaitement) après plusieurs années consacrées à contrer les médisances dont nous étions l’objet.
Dans les textes :
◊ (Gr) est là pour Grosse. La « grosse » est le nom donné à la copie d’une décision de justice ou d’un acte notarié comportant la formule exécutoire.
◊ Le « transport » est la cession d’un droit ou d’une créance.
◊ Les dates sont écrites sous cette forme, par exemple 24 9bre 1556.
◊ On écrit en revanche dans ce qui suit et contrairement au texte
« Demoiselle » là où il y a Dll, testament là où il y a « test », etc. pour faciliter la lecture.
Enfin on ne présente du texte que ce qui est essentiel pour voir les preuves. Un grand nombre de mots intermédiaires ne sont pas présentés.
De gauche à droite dans la première page (les enfantes de Guy du Puy et Flore de Varagne) on lit :
Noble Antoine du Puy fut institué héritier universel avec Paul son frère par le testament de leur père du 23 septembre 1534 [Preuve 2 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Suivent dans le texte consacré à Antoine deux actes en date du 25 9bre 1549 et du 18 juillet 1550 [Preuves 3 et 4 de la page fournies aux commis du généalogiste du Roi].
Viennent alors François, Gabrielle, Gabrielle et Marguerite (du 1er lit) avec une preuve déjà fournie, le testament du 23 septembre 1534.
Puis viennent les enfants du second lit.
Noble Pierre du Puy héritier de Pierre du Puy son oncle le 19 8bre 1537 [Preuve 5 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Noble Pierre du Puy (Nobili Petro de Podio) [probablement le nom sous lequel il est cité dans une preuve NDLR] fut légataire particulier de son père par son testament du 23 septembre 1534 [Preuve déjà présentée].
Noble Peyre del Puech (autre écriture du nom de même personnage) reçoit la vente que lui fait Antoine son frère par acte du 4 juin 1543 d’une pièce de terre pour le prix de 110 livres tournoi [Preuve 6 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi]. Un autre acte d’un notaire suit, original parchemin signé des noms et marque dudit notaire [Preuve 7 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Noble Pierre du Puy reçut le transport que lui fit Antoine son frère par acte du 25 9bre 1549 [Preuve 8 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Antoinette du Puy, mariée avec noble Jean de Arpajon [Preuve 9 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi], est citée dans un acte du 19 janvier 1539 [Preuve 10 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Cécile du Puy épouse en janvier 1544 (le jour est illisible pour nous) noble François de Bainfort [Preuve 11 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Anne du Puy épouse noble Gabriel de Monsetier en février 1549 (le jour est illisible pour nous) [Preuve 12 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
On peut retenir que la filiation des enfants de Guy du Puy est assurée dans cette page par douze preuves.
DEUXIÈME PAGE3
Elle concerne Pierre du Puy qui a fondé la branche Melgueil.
Noble Pierre du Puy, habitant de Castres, épouse par contrat du 24 9bre 1556 noble Paule de Durfort par lequel le père donne en dot à la demoiselle sa fille une somme 4 000 livres tournoi. Acte venant d’une grosse signée du notaire [Preuve 1 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Noble Pierre du Puy, écuyer, habitant de la ville de Castres, fit son testament par acte du 5 mars par acte du 5 mars 1578.
Noble Pierre du Puy y lègue à noble Jérémie son fils une somme de 2 000 livres tournoi payables lorsqu’il aura atteint l’âge de 25 ans, à demoiselles Judith et Olympe ses filles une somme de 1 500 livres tournois payable à chacune lorsqu’elles seront majeures ou qu’elles trouveront à se marier.
Il y institue héritier de tous ses biens noble Samuel du Puy, son fils aîné. Testament reçu par Jacques Chabert, notaire Royal [Preuve 2 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Sur cette page deux preuves, dont le testament de Pierre qui tient la moitié de la page. Testament dans lequel on lit qu’il a pour enfants Samuel, Jérémie, Judith et Olympe contrairement à ce que conclut – on le redit pour que le lecteur en soit convaincu – le pseudonyme Pierr01.
DEUXIÈME PAGE4
Elle concerne Pierre du Puy qui a fondé la branche Melgueil.
Noble Pierre du Puy, habitant de Castres, épouse par contrat du 24 9bre 1556 noble Paule de Durfort par lequel le père donne en dot à la demoiselle sa fille une somme 4 000 livres tournoi. Acte venant d’une grosse signée du notaire [Preuve 1 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Noble Pierre du Puy, écuyer, habitant de la ville de Castres, fit son testament par acte du 5 mars par acte du 5 mars 1578.
Noble Pierre du Puy y lègue à noble Jérémie son fils une somme de 2 000 livres tournoi payables lorsqu’il aura atteint l’âge de 25 ans, à demoiselles Judith et Olympe ses filles une somme de 1 500 livres tournois payable à chacune lorsqu’elles seront majeures ou qu’elles trouveront à se marier.
Il y institue héritier de tous ses biens noble Samuel du Puy, son fils aîné. Testament reçu par Jacques Chabert, notaire Royal [Preuve 2 de la page fournie aux commis du généalogiste du Roi].
Sur cette page deux preuves, dont le testament de Pierre qui tient la moitié de la page. Testament dans lequel on lit qu’il a pour enfants Samuel, Jérémie, Judith et Olympe contrairement à ce que conclut – on le redit pour que le lecteur en soit convaincu – le pseudonyme Pierr01.
Malveillance
Pour mémoire puisqu’on a traité cette question dans le site, le pseudonyme Pierr01 fait d’un Pierre notaire de Castres l’origine d’une famille qu’il appelle de la Riverolle dont un membre titré vicomte du Puy-Melgueil a été admis aux Honneurs de la Cour. C’est ennuyeux pour lui cette admission qui demande des preuves de noblesse jusqu’à l’an 1400 alors que son Pierre notaire de Castres au XVIe siècle n’était pas noble !
Aussi, avec sa remarquable compétence le pseudonyme Pierre01 impose-t-il une déduction que le pseudonyme Ivy présente dans Wikipédia en toutes lettres : le vicomte du Puy-Melgueil (dont le fils Antoine-Louis fera de son titre un nom par ordonnance5) a fourni pour être admis aux Honneurs de la Cour en trompant les commis du généalogiste du Roi comme celui-ci, de fausses preuves et ce, jusqu’au XIIe siècle (il n’y est pas allé avec le dos de la cothurne ce faux noble voulant se faire noble ; autant se raccrocher à la noblesse féodale, c’est si facile de faire des faux !) avec les fausses signatures et les fausses marques des notaires royaux, les faux testaments inventant les sommes en livres tournois données à chacun, avec de faux transports, de fausses cessions de droits, de fausses créances, avec des pt’its faux, toujours des pt’its faux sur l’air de la chanson.
Quatorze preuves pour les deux pages présentées. Quatorze faux en deux pages ? Il y a cinquante-deux pages !
Et sur la question des deux branches de la famille du Puy en Albigeois nous renvoyons à André Navelle.
Le lecteur pourra trouver, par exemple à la bibliothèque Mazarine à Paris, les onze tomes6 d’André Navelle.
Il verra7 dans le tome 4 les noms des personnages que nous venons de citer dans les procès qu’ils se sont fait pour cause d’héritage.
Il notera la séparation des deux branches.
LA RÉPONSE QUI S’IMPOSE AU PSEUDONYME IYY
Nous avons montré ce que le pseudonyme Iyy, félicité par des lauriers de Wikipédia, écrit8 dans cette encyclopédie à propos de l’admission d’un membre de la famille du colonel du Puy-Montbrun admis aux Honneurs de la Cour9 :
« … En outre une publication de nos jours nous éclaire sur les Dupuy de Castres. Alors bien sûr il y a les HC [Honneurs de la Cour NDLR] sauf qu’il n’est pas exclu que les preuves aient été fausses (Chérin fils n’est pas Chérin père)…
Ainsi ce pseudonyme Iyy émet-il l’idée qu’un postulant aux Honneurs de la Cour aurait présenté de fausses preuves.
Or, par un travail exhaustif pour ne pas dire magistral un historien de renom, François Bluche, a montré que « 942 familles ont été reçues aux Honneurs de la Cour, dont 462 ont été – ou eussent été – capables de présenter une filiation prouvée remontée à l’année 1400 nouveau style ».
La famille colonel du Puy-Montbrun alors connue sous le nom du Puy-Melgueil, est l’une de ces 462 familles que François Bluche présente avec le commentaire de Chérin fils (Louis-Nicolas-Hyacinthe) présenté ci-dessous dans un extrait de la page 50 de son ouvrage :
On peut donc faire un petit calcul de probabilités :
Sur 462 familles, combien aujourd’hui les historiens compétents estiment-ils qu’elles auraient présenté de fausses preuves ? Moins que les doigts de la main ? Si le pseudonyme Ivy en connait davantage, qu’il le dise et on en prendra compte.
Ce qui ne changera pas beaucoup le pourcentage. Soit de l’ordre de 1%.
99% des familles reçues aux Honneurs de la Cour ont été reçues sur des preuves qui n’étaient pas fausses.
99% des familles reçues ont fourni honnêtement leurs preuves.
Susurrer comme le fait le pseudonyme Iyy sans rien démontrer que les preuves de la famille du colonel du Puy-Montbrun étaient probablement fausses avec une apparente modestie qui se voudrait percutante, voilà qui est indigne de la conduite d’un historien dit de renom par Wikpédia.
Un historien de renom sait qu’il court le risque de paraître mensonger quand il ne précise pas les raisons qui lui font penser qu’une hypothèse qui n’a que 1% de chance d’être vraie le serait. Il explique. Il convainc pour ne surtout pas paraître mensonger. Il ne se contente pas de susurrer.
Sans explications – nous les attendons – le mensonge confine regrettablement à la calomnie.
Quand on jette l’opprobre sur une famille subsistante qui a 1% de chance d’être dans la case « faussaire », le moindre de l’honnêteté intellectuelle c’est d’abord avoir pris la mesure des preuves qu’elle a présentées (tout lecteur peut le faire à la Bibliothèque Nationale à Paris) puis, devant l’ampleur du dossier de cinquante-deux pages d’écriture fine synthétisant ces preuves, d’étayer son propos et de présenter les raisons pour lesquelles ces preuves conduisent à suspicion.
Rien ce cela n’a été fait.
Chérin père n’est pas Chérin fils
Entre généalogistes de renom l’usage reconnu est de présenter les raisons des différends. Et de préciser en conséquence le pourquoi des nouveaux partis pris quand ils s’opposent à ce qui était préalablement écrit.
Rien de cela n’a été fait.
Nous n’avons a pas su lire en effet là où Chérin fils, Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin, est un médiocre généalogiste du Roi – bien inférieur à son père.
À savoir, nous l’avons dit et le répétons :
◊ Adolphe de Coston qui magnifie le « rigide Chérin » [Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin, dit Nicolas Chérin, fils de Bernard Chérin NDLR] au motif qu’il a refusé de prendre en compte au plus lointain d’une filiation « trois générations qui n’ont pas parues suffisamment prouvées » ;
◊ Borel d’Hauterive qui admire « le savant et consciencieux Chérin », le fils et pas le père ;
◊ Le marquis de Magny qui évoque « le sévère Chérin » dont il apprécie « le grand travail généalogique » de « ce savant », le fils Chérin toujours, pas le père ;
◊ François Bluche qui certes déteste les manières de « jeune coq » du fils, cite des exemples de ses erreurs (son père en a fait aussi, dit-il ) tout en estimant que « si cinq généalogistes des Ordres se succèdent avec un inégale formation et une inégale sûreté, si chacun a son caractère, ses préjugés, sa méthode et son style on ne saurait trouver de l’un à l’autre de discontinuité véritable » ;
◊ Benoît de Fauconpret qui s’incline devant le « rigorisme presque fanatique du second Chérin », Chérin fils donc, parce qu’il refuse un certificat à une famille « parce que le maintenu de 1698 » [pour le lecteur : la maintenue de noblesse obtenue lors des Recherches de noblesse NDLR] « a été obtenu sur des titres falsifiés ».
Conclusion toute personnelle
Conclusion surtout à l’attention du lecteur qui a parcouru le site et observé les deux familles du Dauphiné et de l’Albigeois admises chacune par l’un de leurs membres aux Honneurs de Cour et toutes deux présentées par le même généalogiste du Roi, Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin,
– avec le titre de marquis du Puy-Montbrun pour le Dauphiné,
– avec celui de vicomte du Puy-Melgueil pour l’Albigeois.
Quand il s’agit de la présentation de la famille du Dauphiné le pseudonyme Ivy ne se pose pas de question sur la qualité du généalogiste du Roi qui a présenté cette admission.
Quand il s’agit de la présentation d’un membre de la famille du colonel du Puy-Montbrun par le même généalogiste du Roi, alors là le pseudonyme Iyy en vient à s’émouvoir, pour ne pas dire calomnier.
Le lecteur se fera son propre avis. Le notre est assez tranché. L’examen de ce qui est écrit dans ces encyclopédies montre que tous les artifices sont bons quand il s’agit de nuire à la mémoire de colonel du Puy-Montbrun.
Conclusion
Ce n’est évidemment pas sans raison. La police mutuelle qui est une force de Wikipédia ne s’exerce pas dans les articles qui concernent10 le colonel du Puy-Montbrun et sa famille, preuves à l’appui, à savoir l’historique de ces pages.
Preuves à l’appui encore. On lit toujours des propos qui sont exactement ceux que prononçaient avant son exclusion le pseudonyme Correcteur21.
Or il existe un test pratiqué par les intervenants de Wikipédia et a fortiori par les administrateurs, dit test du canard, qui permet de reconnaître un revenant exclu qui se présente avec un nouveau pseudonyme. Ce qui, dans notre cas, est particulièrement facile devant la répétition de mêmes arguments peu connus d’à peu près tout le monde. On observe que l’administrateur B-Noa, lui qui surveille de si près, ne s’en est aucunement préoccupé.
Ce que l’on voit donc, c’est que ces personnages s’entendent pour qu’il n’y ait entre eux aucune police mutuelle parce que cela les arrange dans l’objectif que le lecteur constate, celui de nuire au colonel du Puy-Montbrun.
Il faut alors évoquer Madame Valérie Toranian, directrice de la Revue des deux mondes qui, dans Le Figaro du vendredi 14 juin 2019, page 20, rappelle que « la technologie du numérique (…) PERMET L’ANONYMAT, FORMIDABLE VÉHICULE DE HAINE ».
La haine c’est (Le Robert) « un sentiment violent qui pousse à vouloir du mal à quelqu’un ».
Il est certain que l’action du colonel du Puy-Montbrun qui s’est opposé à une usurpation de nom du Puy-Montbrun via cinq procès en justice, tous gagnés par lui, n’est pas de nature à ne se faire que des amis, on l’a dit.
Paix à son âme. En France occupée, puis en Indochine, puis en Algérie, puis démissionné sans pension aucune il a eu à traiter d’autres difficultés de bien plus grande ampleur.
Pour lui aujourd’hui dans tombe les chiens aboient (référence au discours du Président Mitterrand à la mort de Monsieur Bérégovoy, toujours citer de vraies références…) et la caravane passe.
Ce qui ne nous empêche pas d’agir pour les raisons déjà dites et précisées à la fin.
notes
- 1 | Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100810923/f69.image.r=Chérin%20165.
- 2 | Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100810923/f69.image.r=Chérin%20165.
- 3 | Voir la page numérotée 2 : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:G%C3%A9n%C3%A9alogie_de_la_famillle_du_Puy-Montbrun,_Albigeois_(Preuves_3-6).pdf.
- 3 | Voir la page numérotée 2 : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:G%C3%A9n%C3%A9alogie_de_la_famillle_du_Puy-Montbrun,_Albigeois_(Preuves_3-6).pdf.
- 4 | Voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65288948/f436.image
On lira que l’ordonnance affirme que les auteurs du vicomte de la Riverole (Antoine-Louis) ont porté le nom de Melgueil [alliance Melgueil au XIe siècle NDLR] ce qui montre, à suivre le pseudonyme Iyy, la qualité des faussaires utilisés par la père d’Antoine Louis.
Ce pseudonyme intervient dans des pages de Wikipédia consacrées à la
noblesse. Nous lui suggérions volontiers d’intervenir aussi dans les pages consacrées aux faussaires, fort des connaissances qu’il semble avoir dans ce domaine. - 5 | André Navelle, Familles nobles et notables du Midi toulousain aux XVe et XVIe siècle : généalogie de 700 familles présentes dans la région de Toulouse avant 1550, Volume 4 qui donne en détail la généalogie de cette famille Delpuech/Dupuy de Cagnac.
- 6 | Voir : https://books.google.fr/books?id=DpwWAQAAIAAJ&q=%22sgr+Cagnac%22&dq=%22sgr+Cagnac%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjThpeWnbzeAhXPJFAKHUHkAh4Q6AEIKDAA.
- 7 | À la date de la création de ce site.
- 8 | Voir tout en bas de la page l’avant dernière intervention (en blanc) signée Iyy à 21h33 à sa 7e ligne :
https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Discussion:Famille_du_Puy-Montbrun&oldid=153229851. - 9 | À la date de la création de ce site.