Conclusion :
Raymond-Louis-Désiré est dit
◊ du Puy à sa naissance
◊ dupuymontbrun et dupuy-montbrun à la naissance de sa fille Agnès-Élodie-Clotilde
◊ du Puy-Montbrun-Rochefort au mariage de cette fille
◊ du Puy-Montbrun à son décès.
Si l’on note que la destinée que lui réservait son père a été acquise à sa mort – être dit « officiellement » du Puy-Montbrun, on voit ici comment un individu né du Puy de par l’acte de naissance (de baptême à l’époque) que son père a du fournir au généalogiste du Roi, décède du Puy-Montbrun dans un acte authentique.
Très bien joué !
Voilà qui montre la plus grande prudence que l’amateur de généalogies peut et même doit manifester même à l’égard d’actes dits authentiques quand ils faussent la réalité familiale et historique.
Avec une observation : on ne s’étonne pas toutefois de la différence d’écriture des noms. Ils sont la caractéristique d’une époque où des personnes peuvent encore se présenter devant les clercs en leur faisant écrire sans difficulté les noms qu’ils déclarent, fussent-ils aussi différents de ce que l’on voit dans le cas de Raymond-Louis-Désiré.