Si la référence tout à fait normale à DUPUY qui renvoie aussi à du PUY n’apporte pas de singularité, il ne faut pas être grand clerc en revanche pour comprendre que COTTON et ROCHER n’ont pas été écrits par hasard.
Une intervention auprès du sociétaire est une hypothèse certaine.
Les alliances de chaque notice ne sont en effet normalement jamais citées.
Or à la notice ROCHER, en fait DE ROCHER DE LA BAUME (sans DUPUY-MONTBRUN, cela donne à réfléchir) à laquelle on est renvoyé on lit qu’un Rocher de Labaume s’est marié avec Agnès Clotilde du Puy-Montbrun (sic) ce qui montre que l’auteur – qui ne pouvait pas ne pas avoir lu l’acte de mariage d’Agnès Élodie Clotilde sous le nom du Puy-Montbrun Rochefort s’il a fait du bon travail, a du satisfaire en réalité de ce qui lui a été dit pour ne l’écrire que sous la forme du Puy-Montbrun.
Il n’a d’évidence jamais vérifié l’acte de mariage.
On retient donc de cet exemple la prudence à manifester lorsque l’on s’appuie exclusivement sur un généalogiste sans croisement des sources. Surtout quand la notice de ce généalogiste montre à l’évidence qu’il a été « approché » pour que le lecteur associe bien les du Puy-Montbrun et les Rocher.
Voilà qui fait réfléchir encore quand on utilise (article Wikipédia « Famille du Puy- Montbrun ») 11 fois cette source en l’attribuant en plus faussement à Henri Jougla de Morenas alors qu’elle a été écrite par un sociétaire inconnu dans une publication qui s’est faite sans lui comme on l’a montré [Voir Note n°1, Chapitre 10].