notes
- 1 | Bibliothèque Nationale, site Richelieu, fonds Chérin 165, dossier 3342.
- 2 | Vicomte de Marsay, De l’âge des privilèges au temps des vanités, Éditions Contrepoint, Paris, 1977.
- 3 | François Bluche : Les Honneurs de la Cour, L’intermédiaire des chercheurs et des curieux (ICC), Éditions Patrice du Puy, Paris, 2000.
- 4 | Benoît de Fauconpret : Les preuves de noblesse au XVIIe siècle, Éditions Patrice du Puy, Paris, 2012.
- 5 | Adolphe de Coston n’a pas manqué de signaler ce défaut de qualité des pièces fournies pour des degrés les plus anciens « qui n’ont pas paru suffisamment prouvées au rigide Chérin » [Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin NDLR].
Incidemment il critique Guy Allard qui a eu toute la confiance de ce dernier pour établir les derniers degrés prouvés : « Guy Allard... fait descendre à tort...diverses familles du Puy... (qui) paraissent n’avoir aucune origine commune avec leurs homonymes du Dauphiné.
Deux hypothèses. Ou bien il ne s’est pas assez instruit des documents du fonds Chérin qu’il cite. Ou bien, c’est beaucoup plus probable, il écrit pour des familles de Montélimar dont l’une (les Rochier représentés par l’usurpateur Louis-Joseph-Gabriel de Labaume Dupuy-Montbrun alors maire de Lagarde Adhémar, on l’a vu) a trop de poids localement pour qu’il ose aller dans ses écrits à l’encontre des prétentions locales. Il faut vendre.
C’est tout le problème de nombreux généalogistes.
=> https://books.google.fr/books?id=cqdCAAAAYAAJ&pg=PA78&dq=Melgueil+honneurs+de+la+Cour+1788&f=false - 6 | Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k374329d/f2.image.
- 7 | Bibliothèque Nationale, site Richelieu, fonds Chérin 165, dossier 3342.
- 8 | Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k374329d/f22.image.
- 9 | Il est probable que Louis-Nicolas-Hyacinthe-Chéri ait mal supporté les tricheries de ceux de la noblesse de cour qui cherchaient à faire des faux, incapables de remonter à l’an 1400 requis par le Roi. Il les démasquait (pas tous, on s’en est rendu compte) tandis que le Roi lui imposait d’en accepter certains.
Ce qui est sûr c’est qu’il a été « de plus en plus gagné aux idées nouvelles… le 15 juillet 1789, il s’enrôle dans la Garde Nationale… Ce fut le début d’une brillante carrière militaire… Il finit général de division, mort au champ d’honneur le 20 prairial an VII. » (Introduction du Baron Durye à l’ouvrage de LNH Chérin, Abrégé Chronologique, op.cit.) - 10 | Cette note relative à la famille du Puy-Melgueil (voir plus loin) est donnée ici à titre d’exemple.
- 11 | Voir note n°5.