notes
- 1 | Voir : « M. Louis de F... de la Baume a été autorisé par un décret impérial du 7 avril 1866 à ajouter à son patronyme le nom de “Dupuy-Montbrun” ; qu’il a néanmoins fait inscrire ses enfants sur les registres de l’état-civil sous le nom de “de Rocher de la Baume du Puy-Montbrun” » dans : https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?idTexte=JURITEXT000007077769.
- 2 | Des esprits chagrins diront que l’A.N.F. peut se tromper. On les remerciera pour cette observation mais surtout pour la démonstration que l’on en attend des erreurs qu’ils auraient fait. Nul doute que l’A.N.F. saura en tenir compte.
- 3 | La Commission des preuves est, croit-on savoir - composée de 17 commissaires et de 13 correspondants en région.
Le fait est qu’aujourd’hui de plus en plus de familles demandent leur admission à l’A.N.F., non sans raison. L’admission est la preuve tangible aujourd’hui de leur noblesse.Il s’agit de faire valoir sans vanité aucune le caractère noble d’une famille.
On sait en effet qu’il y a en France environ 12 000 noms à consonance noble et probablement de l’ordre de 4 000 familles réellement de cette origine.
On comprend alors qu’un nom à consonance noble vous donne 2 chances sur 3 c’est beaucoup, d’être considéré comme faux noble.
Être à l’A.N.F. évite cette désagréable considération, nonobstant les nombreuses actions honorables de cette association.
Mais à une exception près. Les admissions sur titre conférés au XIXe siècle font rentrer à L’A.N.F. des personnes dont le aïeux pouvaient être d’état non noble quand ils l’ont reçu. - 4 | Voir le site de l’A.N.F. et la présentation de M André de Savignac et la conclusion de son intervention dans : https://www.anf.asso.fr/fr/article/titre-un-signe-de-noblesse-1354 que l’on reproduit ici :
« La question de la régularité du port actuel d’un titre est complexe et on comprend la sagesse des fondateurs de l’A.N.F. d’exclure cette question des procédures d’admission.
Cependant, indirectement, la Commission des Preuves est obligée d’examiner si un titre du XIXe était transmissible à son origine, puisque, suivant la jurisprudence de l’A.N.F., c’est une preuve acceptable d’admission pour tous les descendants en ligne directe. La vérification s’arrête à cet aspect et ne continue pas sur la validité de la transmission, ce qui permet l’admission simultanée de plusieurs membres d’une famille. Cette position est critiquée épisodiquement par certains spécialistes du droit nobiliaire, mais c’est un choix fait dès la création de l’A.N.F. sur lequel il ne sera pas revenu ».
Inutile de dire que l’A.N.F. ce faisant « n’anoblit pas ». Cela va de soi. La critiquer ainsi serait contraire à l’histoire de la noblesse qui est tout l’esprit de cette association. - 4 | Voir le site de l’A.N.F. et la présentation de M André de Savignac et la conclusion de son intervention dans :
https://www.anf.asso.fr/fr/article/titre-un-signe-de-noblesse-1354 que l’on reproduit ici :
« La question de la régularité du port actuel d’un titre est complexe et on comprend la sagesse des fondateurs de l’A.N.F. d’exclure cette question des procédures d’admission.
Cependant, indirectement, la Commission des Preuves est obligée d’examiner si un titre du XIXe était transmissible à son origine, puisque, suivant la jurisprudence de l’A.N.F., c’est une preuve acceptable d’admission pour tous les descendants en ligne directe. La vérification s’arrête à cet aspect et ne continue pas sur la validité de la transmission, ce qui permet l’admission simultanée de plusieurs membres d’une famille. Cette position est critiquée épisodiquement par certains spécialistes du droit nobiliaire, mais c’est un choix fait dès la création de l’A.N.F. sur lequel il ne sera pas revenu ».
Inutile de dire que l’A.N.F. ce faisant « n’anoblit pas ». Cela va de soi. La critiquer ainsi serait contraire à l’histoire de la noblesse qui est tout l’esprit de cette association. - 5 | Pièce issue du dossier 883x8, Archives Nationales, site de Pierrefitte.
- 6 | Voir : Bulletin Trimestriel de l’A.N.F., Janvier 1982, n°170.
- 7 | Voir : « M. Louis de F... de la Baume a été autorisé par un décret impérial du 7 avril 1866 à ajouter à son patronyme le nom de “Dupuy-Montbrun” ; qu’il a néanmoins fait inscrire ses enfants sur les registres de l’état civil sous le nom de “de Rocher de la Baume du Puy-Montbrun” » dans: https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?idTexte=JURITEXT000007077769.
- 8 | Association d’Entraide de la noblesse Française, Annuaire 2017, Presses d’Albédia, imprimeur octobre 2016.
- 9 | Voir : Sociétaire anonyme du Grand Armorial de France en 1948, membre de la Société du Grand Armorial de France, Auteurs-éditeurs, Tome V ; Notice Du Puy-Montbrun, page 396. http://palisep.fr/bibliotheque/jougla/tome_05.pdf.