Chapitre 23

Lettres ouvertes
à M de Saulieu, M de Seréville, M Picron,
et aux administrateurs de Wikipédia

À Monsieur Jacques-Amable de Saulieu de La Chomonerie

Vous avez, Monsieur, été approché par le colonel du Puy-Montbrun pour vos compétences reconnues. Il cherchait un appui dans le conflit qui l’opposait à des usurpateurs.

Vous l’ignoriez peut-être, le colonel du Puy-Montbrun est aussi écrivain. Il en a le travers, si l’on ose dire. Il consigne aussitôt et strictement tous les propos échangés dans un verbatim qui se révèle dans votre cas assez long et que complètent les éléments d’un courrier pour lequel il vous a fait réponse.
Une réponse que vous avez parfaitement négligée. 

Nous retenons ainsi des documents en notre possession que le colonel, non seulement n’a reçu de votre part aucune information utile mais a dû regretter votre comportement très peu aimable à son égard. Vous avez formulé nombre de critiques acerbes qui tenaient pour beaucoup à la manière d’écrire son nom au cours des siècles.

Vous lui avez dit, il vous cite, que « c’est seulement votre arrière grand-père qui a pris de son propre chef et sans autorisation le nom Dupuy-Montbrun ». Un pseudonyme Heurtelions n’a pas hésité à le dire dans le même sens en faisant irruption dans l’article de Wikipédia consacré au colonel du Puy-Montbrun. Nous avons montré qu’il n’en était rien. Mieux même. Il s’agit d’une demande finalement acceptée.

Vous lui avez dit encore, lit-on toujours – en allant cette fois à l’encontre de l’appréciation favorable que vous disiez porter sur les Honneurs de la Cour auxquels un membre de sa famille a été admis, qu’un « Déodat est le premier dont la filiation est parfaitement prouvée ». Ce qui est faux à lire les documents des Honneurs. Or aujourd’hui un article de Généawiki bien sûr sous la signature d’un pseudonyme ne cesse d’imposer cette filiation au lecteur comme le faisait précédemment un autre article de Wikipédia.

Que cela vous plaise ou non c’est un Hugues, il vivait en 1190, qui est le premier d’une filiation parfaitement prouvée. Ce qui ressort des travaux de Monsieur François Bluche édités un an avant votre entretien par les éditons Patrice du Puy.

Très probablement n’aviez-vous pas jugé utile de consulter son ouvrage consacré aux Honneurs de la Cour alors que cet historien traite des neuf cent trente-deux familles reçues dont celle du colonel et, en ce qui la concerne, d’une particularité partagée avec quelques autres familles. Celle de se voir nommément et expressément recommandées au Roi par des notes dédiées de son généalogiste.
Une lecture, même rapide, de l’ouvrage de Bluche aurait suffi. Elle vous aurait évité de dire le faux.

Nous espérons donc que ce site puisse vous donner ce complément d’information qui paraît vous avoir manqué, à la fois sur le nom porté par le colonel, sa filiation et sur le comportement de ceux de ses aïeux qui ont bien voulu ajouter Montbrun à leur nom du Puy – du Puy étant bien leur nom depuis le XIIe siècle quelle qu’en soit la forme. On reste étonné que la diversité des appellations dont beaucoup doivent au langage occitan vous ait posé autant de problèmes.

Quant à l’information sur l’ajout « Montbrun » demandé à sa famille de porter, il est vrai qu’elle n’était pas sue du colonel dans l’état de ses recherches quand il vous a consulté.
Il est toutefois très regrettable que votre érudition ne vous l’ait pas fait connaître, ce qui vous aurait évité de lui marteler désagréablement que Montbrun est « un nom de fief que votre famille n’a jamais possédé ».

L’alliance Melgueil des du Puy, aïeux du colonel, datant du siècle de l’an mil et confirmée bien plus tard par une Ordonnance montre que sa famille a joui dès le XIe siècle de quelques-uns des pouvoirs régaliens sur de grands fiefs ce qui caractérise la noblesse féodale selon les termes de Philippe du Puy de Clinchamps, un auteur dont on ne peut douter de la compétence.

Le colonel est devenu du Puy-Montbrun de par la volonté du dernier membre de la branche Rochefort. Laquelle branche s’est appuyée sur l’appréciation favorable que le généalogiste du Roi portait sur Guy Allard – curieusement méprisé par certains pseudonymes sur internet – qui lui a donné une seigneurie Montbrun dans un siècle où le rapprochement de sa famille et de celle du colonel n’est pas écarté par plusieurs généalogistes.

Le nom du colonel du Puy-Montbrun s’inscrit donc dans l’histoire des familles féodales, dont aussi celle des du Puy-Montbrun du Dauphiné. Les sources consultables le font savoir.

Cela dit et compte tenu du mépris qu’à l’évidence vous manifestiez selon lui à son égard mais aussi de l’intérêt que vous avez montré devant lui pour des usurpateurs de son nom – usurpation que les sources disponibles aux Archives Nationales révèlent à l’envi – on se permet d’insister ici.

Les informations aujourd’hui accessibles et que tout un chacun peut consulter montrent parfaitement, sachez-le bien Monsieur, l’ancienneté de la famille subsistante du Puy-Montbrun. Elle ressort de documents incontestablement établis à partir de preuves authentiques, ce que le généalogiste du Roi Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin a lui même écrit en toutes lettres de sa propre main.

Ainsi, et pour en finir, faisons court. Entre ce généalogiste du Roi et vous-même, il n’y a pas photo comme on le dit aujourd’hui. Sachez rester à votre place. On vous en remercie.

Ne vous comportez surtout pas comme ceux qui refusent d’admettre toute nouvelle famille féodale au motif qu’ils prétendent qu’il n’y a qu’eux pour les connaître.

Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

Patrice du Puy-Montbrun

À Monsieur Étienne Chapelain de Seréville
Monsieur, vous êtes si l’on en croît l’information ci-dessous le seul auteur du supplément au Dictionnaire de la Noblesse Française édité aux Éditions Contrepoint en 1977.

Vous dites page 314 que « la notoriété des du Puy-Montbrun du Dauphiné incita » la famille du Puy-Montbrun subsistante « à prendre ce nom de terre (Montbrun) de la famille (du Dauphiné) ».
Voilà qui est, comme nous l’avons montré, tout à fait inexact. 

Pour une famille catholique du Puy en Albigeois reprendre un « Montbrun » porté par un protestant, assassin notoire du Dauphiné pour cause de notoriété ne laisse pas d’intriguer, ce qui aurait pu vous inciter à aller plus loin dans vos recherches.
Vous avez donc pu apprendre ici avec intérêt la vraie raison pour laquelle une famille, du Puy depuis le XIIe siècle, a bien voulu reprendre un « Montbrun », ce qu’on lui demandait.

Mais il y a plus grave. Vous avez publié page 329 de votre supplément une notice sur une famille que vous appelez « de Rocher de Labaume du Puy-Montbrun » alors que ce n’est pas son nom comme on l’a montré. Vous écrivez aussi que « Louis-Joseph-Gabriel fut autorisé par décret impérial du 7 avril 1866 à joindre à son nom celui de sa mère et à s’appeler Rocher de Labaume-Dupuy-Montbrun ».

Tout laisse à penser que vous n’avez jamais convenablement consulté le dossier de changement de nom de ce Louis-Joseph-Gabriel aux Archives Nationales tandis que vous induisez le lecteur en erreur. Le décret de changement de nom ne dit aucunement qu’il autorise le requérant « à joindre à son nom celui de sa mère ». Les faits montrent que vous mentez. Que vous trompez tout le monde. Il suffit de lire ce décret [Voir Annexe 23F] pour que votre propos soit immédiatement infirmé.

Le dossier de changement de nom, lui en revanche, éclaire le décret. Il interdit justement au requérant d’ajouter un nom qu’il présentait comme celui de sa mère alors que ce n’était pas le vrai nom de sa mère. D’où, bien sûr, le refus du Sceau. On pourrait penser que vous auriez pu porter, avant d’écrire, plus d’attention aux noms figurant dans des actes qui peuvent être faux.

Toute aussi fausse est l’écriture du nom du Puy-Montbrun du titre de votre notice alors que vous la terminez en faisant valoir que « Dupuy-Montbrun est légalement porté ». Il est surprenant d’observer comment, là, vous osez vous tromper vous même dans l’écriture exacte d’un nom ce qui fait penser que dans cette notice vos propos n’ont définitivement aucune crédibilité.

Vous dites d’ailleurs de cette famille « anoblie » par Napoléon III que sa « noblesse est authentique ». Vous imposez une opinion qui vous est parfaitement personnelle et n’est aucunement partagée s’agissant des titres impériaux.

Si l’on suit le vicomte de Marsay dont les publications présentent un savoir historique que je n’ai pas vu, peut-être à tort, dans les vôtres, « les lettres de noblesse concédées par la Restauration étant les dernières faveurs de cette nature accordées en France par le Souverain, nul n’est fondé à se réclamer d’un principe d’anoblissement postérieur à 1830 ».

Or, avant 1868, les aïeux de cette famille subsistante n’étaient pas nobles. Voilà qui rend ridicule votre « noblesse authentique ». L’anoblissement que vous écrivez prête à rire si l’on se réfère à tout ce que nous avons montré comme à ce qui a été écrit par monsieur Régis Valette dans un courrier adressé au colonel du Puy-Montbrun signé Jean-Paul Alexis [Voir Annexe 23E]  et que nous reproduisons pour l’essentiel ci-dessous » :

Il serait possible, rejoignant un pseudonyme d’internet à la langue bien pendue, que vous trouviez vous-même que Saint-Simon, Clinchamps et maintenant Valette aient été « abusés ». Si c’était votre cas je crains que trop d’abusés nuise gravement à votre santé. 

Incidemment le titre de comte donné à cette famille par l’Empereur s’est transformé en celui de marquis aujourd’hui dans l’annuaire de l’Association de la Noblesse Française (A.N.F.), une association où elle est rentrée en utilisant une singularité de ses statuts. Voilà qui fleure bon l’entourloupette, tout particulièrement à l’égard de l’A.N.F..

Quelle conclusion vous donner ? À voir le style de votre écriture qui tord la réalité des sources on n’est pas étonné qu’aujourd’hui certains personnages cachés derrière leurs pseudonymes dans un site si bienveillant à leur égard font fi à votre image d’autres sources qui confirment la réalité de la noblesse féodale de la famille subsistante du Puy-Montbrun.

On l’observe notamment de la part de celui qui, caché derrière son pseudonyme, renvoie à votre propre notice dans un article de Généawiki.

Cela nous encourage à vous donner un conseil.
Évitez surtout d’intervenir dans le site ROGLO. Cette excellente base n’admet pas les pseudonymes ce qui fait assurément sa force. On y écrit sous son nom et en pleine responsabilité de l’apport que l’on y insère.

Aussi vu votre comportement, et le peu de cas que vous faites des Archives et de leurs sources, vous ne tarderiez pas à y écrire le faux. Vous seriez alors très rapidement remercié, une situation regrettable dont vous ne sortiriez pas grandi. Je souhaite vous l’éviter.

Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

Patrice du Puy-Montbrun

À Monsieur Gilbert Picron

Monsieur,

Dans votre ouvrage sur Charles du Puy-Montbrun publié en 2016 aux Éditions du Toulourenc, vous donnez à une personne dont un aïeul a été titré comte héréditaire alors qu’il n’était pas noble comme nous l’avons montré – le qualificatif de « Marquis, 10e du nom » (page 124).

Nous vous remercions de donner au lecteur une heureuse occasion de rire. On en manque. Cela fait aussi de votre ouvrage de complaisance – il suffit de lire votre liminaire – un outil édifiant. Il instruit de façon accablante sur des points de vue que l’on ne peut que regretter.

L’épisode du marquis passé, certains de ces points de vue sont en effet beaucoup moins drôles. Tel celui que vous donnez à propos du nom du Puy-Montbrun porté aujourd’hui. On lit dans l’extrait reproduit ci-dessous de la page 115 de votre ouvrage :

Puisqu’il n’y a qu’une ligne réellement rattachée à Alleman II et ce, de façon légale, ce ne sont pas la plupart des familles mais toutes sauf cette ligne qui ont usurpé ce nom.

Votre « la plupart » est d’ailleurs trompeur et ne trompe personne. Vous avez- on n’en doute pas – étudié les familles du Puy-Montbrun aujourd’hui. Vous savez donc qu’il n’y en a qu’une, la mienne. Ce que savent beaucoup de ceux qui vous lisent quand ils sont intéressés par le nom du Puy-Montbrun. 

Pour eux donc, votre propos s’interprète comme conduisant à penser que la famille du colonel du Puy-Montbrun, seule de ce nom, l’usurpe.

Voilà qui est très malveillant. D’aucuns pourraient même y voir une imputation mensongère qui attaque la réputation de cette famille. La définition même de la calomnie.

Vous m’avez écrit que vous avez effectué des recherches généalogiques « durant plus de 10 ans sur la descendance de Charles du Puy-Montbrun » et que « c’est logiquement que le fils de Clotilde du Puy-Montbrun ait pu conserver le patronyme de sa mère ».

Il est dommage que pendant ces dix années vous ne vous soyez jamais rendu aux Archives Nationales sises à Pierrefitte-sur-Seine dont une pièce a été citée dans un de ses arrêts par la Cour de Cassation. Clotilde que vous dites du Puy-Montbrun ne s’est jamais appelée comme vous la nommez. C’est une invention de votre part, du Puy-Montbrun n’ayant jamais été son patronyme ni au regard de la Loi ni au regard de l’histoire de sa famille dite du Puy ou du Puy-Rochefort. Le Sceau, lui, s’en est vite aperçu. Pas vous.
Dommage. Cela vous aurait évité d’écrire pompeusement le faux.

Le faux au regard d’une décision de justice aussi. Dans l’écriture erronée que vous faites dès votre liminaire d’un de Rocher de Labaume Dupuy-Montbrun qu’il faut écrire ainsi après cinq procès tous perdus par lui et une publication judiciaire, on s’interroge. Ou c’est vous qui êtes allé à l’encontre de la décision de justice en écrivant du Puy-Montbrun de votre propre chef contrairement à cette décision de justice. Ou c’est la personne concernée et que vous mettez en valeur, notamment pas sa photographie, qui a manqué au devoir qui lui était fait par les tribunaux de « cesser et de faire cesser (…) d’utiliser le nom patronymique du Puy-Montbrun (…) sur tous les actes publics ou privés de quelque nature qu’ils soient ».

C’est ce qui nous fait regretter que vous ayez fait apposer la signature d’un Officier de police judiciaire dans votre ouvrage quand il recèle de votre part ou de celle de votre affidé une telle imposture. C’est évidemment à son insu que tout cela a été fait, nous n’en doutons pas en ce qui le concerne.

Le faux a ainsi conduit Monsieur Gérard Chappon, premier adjoint au Maire de Montbrun- les-Bains à m’écrire aussi que le contenu de votre livre ne « porte (pas) atteinte à l’honneur de (ma) famille ». Chacun après la lecture de ce site observera qu’il n’est rien. On ne se fait pas traiter d’usurpateur sans conséquences  personnelles.

Nous serions donc particulièrement heureux de savoir que vous avez pu trouver dans ce site les raisons d’observer que l’usurpateur n’est pas celui que vous dénoncez. Sans manquer d’observer que vous avez bien servi la soupe en faisant semblant de vous intéresser à un Charles qui ne s’est jamais appelé du Puy-Montbrun comme vous l’écrivez dans le titre de votre ouvrage.

Près de sa mort, il se cite dans son testament avant de monter sur l’échafaud. Chacun peut en lire les termes à la Bibliothèque Nationale. Il s’appelle Charles, seigneur de Montbrun, Ferrassières (…) aux Baronnies du Dauphiné.
Voilà donc ce qu’aurait dû être le titre de votre ouvrage si vous en étiez resté à l’histoire. Il eût été de beaucoup préférable s’agissant de celle de Montbrun-les Bains.

Je vous prie, Monsieur, d’agréer l’expression de mes salutations distinguées.

Patrice du Puy-Montbrun

Aux Administrateurs de Wikipédia

Mesdames, Messieurs,

Nous avons cité Monsieur, l’utilisateur Racconnish, un Administrateur qui fait honneur à Wikipédia de par la façon dont il a traité un conflit que nous avions avec le pseudonyme Correcteur21, quoiqu’il n’ait pu le conclure convenablement malgré son remarquable investissement. Nous lui avons adressé tous nos remerciements.

Quant au pseudonyme Correcteur21, vous savez qu’il a été ultérieurement exclu de l’encyclopédie pour en avoir enfreint les règles. C’est peu dire de son comportement dans le traitement du conflit. Ceci explique cela.

Or il est à nouveau présent dans l’encyclopédie en répétant sous un autre pseudonyme mais dans les mêmes termes exactement ce qu’il disait. Des termes non sans complexité qu’il ne peut être que le seul à faire valoir dans la forme utilisée. Il est donc regrettable d’observer qu’un test du canard à la portée de la première personne venue ne s’est jamais imposé en ce qui le concerne.

Nous avons aussi – regrettablement encore – cité les pseudonymes Keramplein, Heurtelions [Voir Annexe 23A], Iyy [Voir Annexe 23B], Ornb [Voir Annexe 23C] et B-Noa [Voir Annexe 23D] ainsi que le pseudonyme Lomita pour en venir aux deux remarques suivantes :

◊ La capacité donnée à chacun d’échanger utilement dans cette encyclopédie y permet l’excellence que chacun lui reconnait. Pour ce qui nous concerne, l’échange constructif nous a toujours été interdit selon les mêmes termes écrits par des pseudonymes différents. D’où notre site aujourd’hui qui encourage l’échange. Il est, lui, ouvert à toute discussion pourvu que l’on s’y présente avec son nom et pas avec un pseudonyme.

◊ La qualité des « Aides » de Wikipédia est remarquable de sagesse et de précision. C’est donc avec raison que vous avez fait d’Infox n’est pas Wikipédia le thème d’une de vos tables rondes.
Or l’encyclopédie laisse la place à des pseudonymes dont le strict suivi des aides établies par Wikipédia aurait interdit les fake news que nous avons présentées. C’est regrettable.

Nous concluons en soulignant bien sûr la qualité exceptionnelle de Wikipédia aujourd’hui, ce qui ne se peut sans une grande attention de votre part dont on pourrait souhaiter qu’elle soit élargie aux articles où l’on fait peu de cas des aides de l’encyclopédie. Et où l’on méprise l’utilisateur quand il n’est pas de l’avis d’une majorité incompétente qui, s’appropriant l’article, rejette tous ses apports dûment sourcés [Voir note n°8, Annexe 0B].

Nous nous référons pour vous le dire aux propos du pseudonyme Lomita. Pour elle – si je l’ai bien comprise – les articles de généalogie de Wikipédia, certainement médiocres, sont objets de tant d’oppositions que le meilleur comportement est de ne point s’y intéresser. 
Nous ne partageons pas son analyse. En un mot, quand on est une personne responsable et que l’on sait la cause de difficultés qui vont jusqu’à jeter l’opprobre sur des familles, on ne se défausse pas. On s’en inquiète.

Veuillez agréer, Mesdames et Messieurs les Administrateurs l’expression de ma grande considération.

Patrice du Puy-Montbrun

chapitre 22

Fake news dans Wikipédia,
Des infox dans deux articles

chapitre 24

Généalogie connue de le famille du colonel du Puy-Montbrun